Le Temps des cerises


De Wikipedia, la enciclopedia libre
Saltar a navegación Saltar a búsqueda
Le Temps des cerises

Le Temps des cerises ( francés:  [lə tɑ̃ de səʁiz] , El tiempo de las cerezas ) es una canción escrita en Francia en 1866, con letra de Jean-Baptiste Clément y música de Antoine Renard , muy famoso en los países francófonos. Más tarde, la canción se asoció fuertemente con la Comuna de París , durante la cual se agregaron versos a la canción, convirtiéndose así en una canción revolucionaria . El "tiempo de las cerezas" es una metáfora sobre cómo será la vida cuando una revolución haya cambiado las condiciones sociales y económicas. Se cree que el escritor lo dedicó a una enfermera que luchó en la Semaine Sanglante.("Semana Sangrienta") cuando las tropas del gobierno francés derrocaron la comuna. [1]

Para su campanada horaria, el reloj del ayuntamiento en el suburbio parisino de Saint-Denis alterna entre dos melodías diferentes, " Le roi Dagobert a mis sa culotte à l'envers " y "Le temps des cerises". [2]

Esta canción inspiró al Partido Comunista de Bohemia y Moravia a adoptar dos cerezas como parte de su logo. [3]

Letra

Hay muchas versiones de la letra original, pero la siguiente es la versión popularizada por el cantante Yves Montand , con posibles variantes entre paréntesis:

Quand nous chanterons le temps des cerises (Quand nous en serons au temps des cerises)
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur

Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreille ...
Cerises d'amour aux robes pareilles (vermeilles)
Tombant sous la feuille (mousse) en gouttes de sang ...
Mais il est bien court le temps des cerises
Colgantes de corail qu'on cueille en rêvant!

Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d'amour
Évitez les belles!
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas (point) sans souffrir un jour ...
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des chagrins (peines) d'amour!

J'aimerai toujours le temps des cerises
C'est de ce temps-là que je garde au cœur
Une plaie ouverte!
Et Dame Fortune, en m'étant offerte
Ne pourra jamais calmer (fermer) ma douleur ...
J'aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au cœur!

Referencias

  1. A ce propos citons Louise Michel dans La Commune Histoire et souvenirs (1898): Au moment où vont partir leurs derniers coups, une jeune fille venant de la barricade de la rue Saint-Maur llegan, leur offrant ses services: ils voulaient l ' éloigner de cet endroit de mort, elle resta malgré eux. Quelques instants après, la barricade jetant en une formidable explosion tout ce qui lui restait de mitraille mourut dans cette décharge énorme, que nous entendîmes de Satory , ceux qui étaient prisioneros; à l'ambulancière de la dernière barricade et de la dernière heure, J.-B. Clément dédia longtemps après la chanson des cerises. -Personne ne la revit. [...] La Commune était morte, ensevelissant avec elle des milliers de héros inconnus.
  2. ^ "De los reyes franceses a una incursión mortal: la historia del área de Saint-Denis de París" . Prensa asociada . 18 de noviembre de 2015 . Consultado el 18 de noviembre de 2015 .
  3. ^ "Kdo jsme" . Partido Comunista de Bohemia y Moravia . Consultado el 27 de octubre de 2019 .

enlaces externos

Obtenido de " https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Le_Temps_des_cerises&oldid=1046607214 "